Paris est encore frappée ce vendredi 13 novembre 2015. De la pire des façons. Des fous furieux tirants à vue sur tout ce qui bouge. Des simples gens dans un concert, sur la terrasse d’un café, à une tribune d’un match amical de foot ou tout simplement marchant dans une rue, victimes innocentes fauchées par la barbarie humaine. On parle de plus de 120 assassinats et d’une centaine de personnes entre la vie et la mort. Comment ne pas s’incliner douloureusement devant la détresse des familles éprouvées ? Comment ne pas se sentir solidaire de la France en un moment si tragique. Mais comment ne pas s’interroger sur notre humanité, sur la direction imprimée au monde par les dirigeants des grands pays. Peut-on seulement se limiter aux réponses répressives, sécuritaires, militaires ? Ne faudrait-il pas ouvrir enfin les yeux car malgré la sophistication et l’ampleur des moyens rien n’y fait. Au contraire. L’horreur se déchaîne et franchit palier sur palier si tant est qu'on peut s'exp...
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