Accéder au contenu principal

Articles

Affichage des articles du mai 20, 2016

Limogeage d’AAA : j’ai honte

J’ai honte de voir le gouvernement du pays débarquer de façon arbitraire un Directeur Général qui faisait son métier avec conscience et sérieux, le seul DG d’un établissement public qui avait renoncé à des privilèges matériels (indemnité de bouche et voiture de fonction) au profit de sa société ; un gouvernement qui devrait se contenter de régler les affaires courantes depuis l’élection d’un nouveau président. J’ai honte d’apprendre que face au limogeage arbitraire de leur DG, les journalistes d’Alwatwan se contentent de « prendre acte de la décision » (in la Gazette numéro 2677 du 20/05/2016) J’ai honte de constater que dans ses journaux d’hier, l’ORTC n’ait même pas évoqué le limogeage d’AAA. J’ai honte de constater que dans son édition du jour, la GAZETTE DES COMORES se contente d’une analyse, certes pertinente, mais n’exprime aucune colère, aucune protestation J’ai honte de constater que les différentes organisations comoriennes de presse ne se soient exprimées sur ce limog

La duplicité de la France

"Voici un extrait d'un post d'Aboubacar Ben Said Salim sur Facebook, un témoignage saisissant des pratiques des réseaux français" Pour comprendre la duplicité de la France sur la question de Mayotte je vous invite à lire les mémoires du Président des Comores de feu SAID MOHAMED DJOHAR chapitre PERIPLE DU GENERAL de GAULLE en Afrique noire page 111 à 113 . On y apprend qu'un certain Savignac alors adjoint du chef du territoire a proposé aux députés le déplacement de la capitale vers la Grande Comore pour rapprocher disait-il l'exécutif qui se trouvait à Mayotte et le législatif qui se trouvait à Moroni; tout de suite après il est parti à Mayotte réunir les notables pour leur tenir un discours virulent contre les Grands Comoriens qui selon lui voulaient le déplacement de la capitale à Moroni en même temps qu'il suggérait de mobiliser les femmes et les mettre au premier rang de la protestation contre le déplacement de la capitale . Voilà la véritable o