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Affichage des articles du novembre, 2022

PROCES DE LA CITOYENNETE ECONOMIQUE : DEGRADANT

Jamais procès n’a été autant vicié, et cela au grand jour. La procédure a été décortiquée dans le détail depuis l’ordonnance de renvoi jusqu’à la juridiction elle-même en passant par la désignation du Président de la Cour et des assesseurs. Comment des personnes au cœur de cette affaire de la citoyenneté économique ont-elles pu disparaître de la procédure. On pense en particulier à Abou Achiraffi, celui qui signait les passeports, et à Ikililou, ancien président, celui qui a vendu le plus de passeports. Azali ne respecte rien, même pas les formes. Azali, avec le soutien de la France et la complaisance du monde croît pouvoir agir à sa guise dans un pays asservi. On dirait même qu’il voudrait fonder une dynastie !? Azali instrumentalise la justice sans prendre aucune précaution au point où il est permis de s’interroger sur la moralité de certains magistrats comoriens. Comment peuvent-ils tomber aussi bas ? La corruption n’aurait-elle pas de limite ! On comprend pourquoi la justice

D10 | PROCES SAMBI : UN ENJEU CRUCIAL POUR LE PAYS

"Nous publions intégralement ci-dessous une déclaration de l'organisation patriotique UKOMBOZI" Sambi est devenu un symbole, un drapeau de la lutte contre une autocratie arrogante, imbue d’elle-même qui impose ses désirs par une force brutale qui s’affiche sans fard. Depuis sa dissolution cavalière de la Cour Constitutionnelle, l’institution faitière du pays, le président Azali semble avoir perdu la tête, il se croit tout permis. Il gère le pays sans aucun respect des lois. Il s’appuie sur une armée désormais placée sous la férule de son homme des basses œuvres Belou. Il pratique la corruption à grande échelle et croit pouvoir donner le change avec des mensonges grossières, éhontées qui ne trompent personne. Le cas Sambi illustre, sans contestation possible, cet état de fait : l’arbitraire érigé en gouvernance de l’Etat, l’instrumentalisation de l’appareil d’Etat, la mise sous tutelle de l’institution judiciaire, la politisation de l’armée. Les faits posés au vu et au

Déclaration n° 9 : Célébrer le 12 novembre, la JOURNEE NATIONALE MAORE

"Nous publions intégralement, la déclaration numéro 9 de UKOMBOZI, une organisation politique qui se signale depuis plus d'un an par ses positions patriotiques voir ukombozi.net " Le décret instaurant le 12 novembre journée nationale MAORE est le fruit d’un combat acharné du Comité Maore, des associations de la diaspora (Comité Comores Masiwa Mane, CDISCOM, …), de la société civile comorienne dans son combat pour l’indépendance du pays et la sauvegarde de son intégrité territoriale. C’est un acquis à préserver et qui ne doit pas être transformé en une simple formalité ou rituelle sans sens. La journée nationale Maore marque la volonté unanime de notre nation de recouvrer l’unité du pays, elle doit maintenir la flamme patriotique. Elle prendrait tout son sens si le Chef de l’Etat comorien prononçait un discours à la nation, en cette journée mémorable pour tirer le bilan de l’année écoulée et fixer les objectifs. Rappelons que c’est le 12 novembre 1975 que l’ONU vota à