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Articles

Affichage des articles du septembre, 2012

L’AUTISME DE L’OCCIDENT

La 67ème session de l’Assemblée Générale de l’ONU a entamé ses travaux ce mardi 25 septembre 2012. Malheureusement il semble difficile de nourrir une quelconque illusion. Les commentateurs les plus avertis confortent le scepticisme ambiant. C’est que le monde est dans l’impasse . L’Humanité n’a jamais été aussi puissante. Armement sophistiqué et dévastateur, moyens d’observation hors du commun, vitesse de transmission de l’information inconnue jusqu’ici. Paradoxalement, le monde est à la merci de petits groupes de barbus fanatiques. Ces derniers s’emparent de pays (Afghanistan) ou de partie de pays (Mali), y sèment la terreur, détruisent des patrimoines précieux de l’Humanité et paradent sur les télévisions du monde entier. Paradoxalement le monde ne peut pas arrêter la main d’un tyran qui bombarde à grande échelle son propre peuple, on dénombre plus de trente mille morts en Syrie. L’humanité est incapable de s’unir autour d’une question quelconque, même contre la pollution de l’air.

Communiqué sur la visite aux Comores de Monsieur Alain CHRISNACH, Conseiller d’Etat français

"Nous diffusons in extenso le communiqué de presse du Comité Maore" Tout le monde croyait que la visite de Monsieur Chrisnach s’insérait dans l’ouverture initiée dans le rapport de la dernière mission sénatoriale française. Eh bien non. C’est apparemment, pour fermer cette porte que le gouvernement français a dépêché son Conseiller d’Etat dont l’objectif semble la mise du Visa Balladur au goût du jour. Souvenons-nous de l’espoir suscité par les sénateurs français. Ils avaient souligné les dangers du visa Balladur et préconisé de créer un « espace de circulation à l’intérieur des Comores », une orientation pragmatique qui permettait d’engager des discussions apaisées pouvant débloquer une situation ahurissante qui dure. L’aveuglement colonialiste allait-il laisser la place à une clairvoyance intelligente susceptible d’ouvrir la voie à une solution intégrant la complexité de la question de l’île comorienne de Mayotte et satisfaisant chaque partie ? Eh bien non ! Monsieur