Une procédure de levée de l’immunité parlementaire a été engagé contre quatre députés par le parquet de la République. Tocha Djohar et Mhadji Ali sur les incidents malheureux du 30 juillet ; Bacar Dossar et Abou Achirafi sur la citoyenneté économique. Et voilà que le journal LAGAZETTE du 26/09/2018, numéro 3245 nous apprend qu’Abou Achirafi ne ferait plus partie de la liste des élus visés par la procédure. Pourquoi ? « La raison reste méconnue » (op cit). Et cette information n’a suscité aucune réaction ? Ni le parquet de la République, ni l’Assemblée Fédérale. Aucun écho dans les autres médias. Aucun article dans FaceBook d’ordinaire si réactif dans son style si particulier avec ses emballements divers. Il y a donc de quoi s’interroger sur les « miracles » d’Abou Achirafi. Car il s’agit d’un véritable scandale. Abou Achirafi a été arrêté et mis en résidence surveillée. Pourquoi un tel privilège réservé aux personnalités de premier plan du pays. Jusqu’à lui tous les DG indélicats
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