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Affichage des articles du décembre 17, 2009

Réponse à Oraison

Réaction du Comité Maore aux articles parus dans Albalad 149 et 150 signé par le professeur Oraison Comme à son habitude, M Oraison s’exprime sur la question de l’île comorienne de Mayotte en arborant son statut de « professeur de droit des universités » maîtrisant parfaitement son sujet et donnant la leçon. On était donc en droit d’en attendre une analyse non partisane, qu’il dépasse sa francité. Malheureusement il n’en est rien ! M Oraison masque les vraies questions de droit que pose le maintien de Mayotte sous administration française, à savoir l’application de la loi du plus fort dans les relations internationales. Un pays fort, la France annexe une partie du territoire d’un pays faible, les Comores. Une puissance mondiale, la France, peut considérer l’ONU comme un « machin » et bafouer les résolutions qui ne lui plaisent pas, tout en restant membre du Conseil de Sécurité, le garant du respect de la Charte de l’ONU. M Oraison nous explique en long et en large les dispositions de l