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Affichage des articles du novembre, 2013

LA DIPLOMATIE DU PLUS FORT

Le monde est gouverné par la loi du plus fort, chaque jour qui passe nous fournit des preuves flagrantes. Des petits pays comme le nôtre en font l’amère expérience quotidiennement, parfois de façon tragique comme les Comores avec les dizaines de milliers de morts du « visa Balladur ». L’actualité de ces derniers jours devraient ouvrir les yeux de ceux qui persistent à se voiler la face. Le nucléaire iranien en premier. Le Conseil de sécurité est devenu le groupe de cinq plus un. Pas besoin de validation de l’ONU. L’Allemagne, première puissance européenne s’est imposée par sa force. Autre coté des choses : l’Iran n’aurait pas droit à l’arme nucléaire ! Pourquoi Israël aurait-il droit à l’arme nucléaire et pas l’Iran. Décret de l’Occident auquel l’Iran doit obéir puisqu’il est incapable de résister au chantage occidental sur les sanctions économiques. L’Occident agrée les pays qui peuvent posséder l’arme nucléaire sous prétexte de non-prolifération de l’arme nucléaire. Les peuples du m

LES DESSOUS DU HAUT CONSEIL PARITAIRE (HCP)

Les travaux du HCP débuteraient le 28 novembre à Paris, selon le site officiel de la présidence. A moins de dix jours de l’ouverture des travaux, rien n’a filtré sur la composante comorienne du HCP en dehors de Boléro, toujours en pointe. Aucune indication non plus sur l’ordre du jour. Seul élément tangible : la visite au pays de Mme Doux, chef de la délégation française au HCP. Dans une interview à la presse rapportée par le site de la présidence des Comores, Madame Doux, a diplomatiquement esquivé toutes les questions avec des « on y travaille, on y réfléchit ». Le « retour de Mayotte dans son giron naturel » comme point des discussions du HCP reçoit une réponse à la normande « ce qui est important c’est que les gens, les populations des îles soient en sécurité et que les choses se passent bien…nous envisageons des solutions très concrètes pour éviter les drames humains que nous connaissons ». Au-delà des « salamalecs » habituels, on devine que pour la France l’enjeu est double :