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Articles

Affichage des articles du janvier, 2022

Solidaire du peuple malien

 

Vive les Cœlacanthes, vive les Comores

La participation des Cœlacanthes à la CAN a dépassé toutes les espérances. Ce qui a comblé de joie le peuple comorien Notre vœu : que ce bonheur se transforme en force au service de la libération du pays et des aspirations profondes du peuple comorien    

UKOMBOZI | Débat sur le programme | Quelle langue ?

Une question fondamentale dont l’impact sur la nation est évident. On ne peut se libérer en continuant à utiliser les schèmes d’une langue coloniale. Comment envisager cette question d’un point de vue comorien. Nous l’introduisons ici ! Expérience des autres Nombre de pays ont imposé un parler d’une région ou d’une ethnie comme langue nationale : Chine avec le mandarin, France avec le parler de l’île de France, etc. En Europe, après avoir quasiment disparus, les parlers refont surface, sont même enseignés : catalan, breton, etc. En Afrique seul Madagascar a suivi cette voie. Le merina est imposé comme langue officielle. Une expérience à approfondir aussi bien en termes d’acceptation, d’usage, de littérature, etc. En tout cas elle n’est parlée qu’à Madagascar. Les autres pays africains utilisent les langues coloniales pour communiquer malgré l’existence de parler ou langue comme le wolof, etc. Comores Nous avons quatre parlers : shiMaore-shibushi, shiMwali, shiNdzuani, shiNg

Azali et Maore : capitulation ou trahison nationale

Le discours d’Azali du 30 décembre 2021 sur l’état de l’Union, voir Alwatwan du 31/12/2021, rajoute encore une couche dans les indices tangibles qui tendent à prouver que le président Azali a tourné le dos à la question de Maore, on pourrait et devrait même l’accuser d’être complètement acquis à « Mayotte française » ? Il a en tout cas de plus en plus mal à cacher sa démission ou sa trahison. Car si l’on doit noter que dans son introduction il met en relief que la « réintégration de l’île comorienne Maore » comporte une dimension constitutionnelle, son discours sur l’Etat de l’Union s’en est éloigné complètement. L’importance accordée à la question en termes de quantité permet de se forger une opinion Aucun paragraphe consacré à Maore. A peine deux paragraphes dans une colonne du journal. S’agissant du contenu on tombe des nues. Le président Azali se limite à « exprimer mon inquiétude face aux drames quotidiens qui se déroulent dans le bras de mer qui sépare l’île d’Anjouan de l’