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Articles

Affichage des articles du décembre, 2011

2012 : L’ANNEE DU SURSAUT NATIONAL !?

Les salaires sont payés mais le spectre des mois impayés n’a pas disparu pour autant. Car les problèmes ne sont pas réglés, tant s’en faut. Le patron des finances n’est préoccupé que par les critères du FMI car à ses yeux la suppression de la dette du pays passe avant tout. Le président IKILILOU déconcerte . Il innove avec les lettres de missions adressées à chaque ministre mais l’orientation fut tellement générale, aucun objectif précis, aucun indicateur de mesure de l’activité des départements et bien évidemment tout cela est vite oublié. On aimerait croire à la lutte contre la corruption. Mais il y a tellement d’incohérences et cette justice comorienne qui se noie dans ses difficultés de tous ordres et qui inspire si peu de confiance. Le pouvoir semble désorienté face à la complexité du redressement du pays et les choses « vont comme ils vont », comme d’habitude ! Le président IKILILOU inquiète. « Le relais qui rassure » a complètement changé d’orientation sur la question fondam

ADRESSE AUX CANDIDATS AUX PRESIDENTIELLES FRANCAISES

Adresse aux candidats aux présidentielles pour les sensibiliser sur l'ampleur de la catastrophe humanitaire qui se déroule sur le bras de mer Anjouan - Mayotte et qui a vu 1% de la population comorienne disparaître à cause du visa Balladur. Ci-dessous le texte de présentation du dossier qui est composé de plusieurs documents d'origines diverses. AUX COMORES, « LE VISA BALLADUR » TUE ! Une situation extrême Le maintien de Mayotte sous administration française crée une instabilité chronique dans la sous-région de l’Océan indien, tout particulièrement dans l’Archipel des Comores. Une instabilité aggravée par l’érection de Mayotte en département français. Ainsi, par un spécieux tour de passe-passe, de victimes, les Comoriens non originaires de Mayotte, y ont mué par le bon vouloir du « visa Balladur », en immigrés clandestins, objets d’expéditions punitives, de rafles, suivies d’expulsions abusives et au mieux taillables et corvéables à merci. Des Comoriens qui ont pourtan