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Articles

Affichage des articles du octobre, 2010

ELECTIONS BY PNUD : LA REVELATION

La question de l’impression du matériel électoral doit servir de révélateur et déciller les yeux sur la place et le rôle joué par les Organisations Internationales spécialistes de l’aide eu développement, en premier lieu le FMI, la Banque Mondiale et le PNUD. Interrogeons d’abord les faits. Le PNUD affirme avoir lancé un appel d’offre international. Comment se fait-il que cet appel n’ait pas été publié par un organe de presse comorien ? Contacté, Al Watwan dit ne pas l’avoir reçu. De quel sorte d’appel international s’agissait-il ? Comment un opérateur installé aux Comores pouvait-il savoir qu’un appel d’offre international était lancé et comment pouvait-il y accéder ? M Opia doit s’expliquer publiquement à moins qu’il opte pour une attitude arrogante envers le pays. Autre aspect des choses : pourquoi ne pas s’être limité à un appel d’offre national ? Les opérateurs du domaine installés aux Comores ont prouvé par les faits leurs compétences en la matière lors des dernières élections ?

MAYOTTE JUSQU’AU BOUT

Samedi dernier, le Sénat français adoptait une loi sur la départementalisation de l’île comorienne sans la moindre protestation comorienne. A se demander si le gouvernement comorien et les « présidentiables » sont au courant !? Plus curieux encore silence radio, un non-événement pour le pays. Force est de concéder que l’ambassade de France aux Comores excelle dans son travail pour faire accepter l’inacceptable à notre pays. Autre événement récent intéressant : la francophonie vient de clore son 13ème sommet consacré en partie à la promotion de la démocratie et de la paix en francophonie en ignorant superbement les plus de 7 000 Comoriens morts et disparus dans le bras de mer Ndzuwani-Maore. Et pourtant les Comores étaient représentés au sommet, Sambi en personne est en bonne place sur la « photo de famille » francophone publiée dans le net. On espérait mieux après le discours du Chef de l’Etat devant le monde entier en septembre dernier. Et l’avenir semble encore plus sombre. La plupar

Question de Mayotte « UN ETAT DEUX ADMINISTRATIONS »

La question de l’Ile comorienne de Mayotte s’est heureusement imposée dans le débat électoral. Après la « sortie » de Mzimba qui a suscité un tollé général, le candidat Bianriffi, a eu du mal à cacher ses divergences avec son colistier. Interviewé par HZK-LA GAZETTE DES COMORES, le candidat Abdou Djabir s’est aussi exprimé. Quand il parle de son amour pour les maorais, on s’aperçoit avec regret qu’il considère Mayotte comme une terre étrangère. Quoiqu’en termes plus mesurés, il rejoint quant au fond Mzimba dans les thèses qui rejettent la revendication pour faire primer la position des maorais comme voie de sortie. Une opinion qui arbore le drapeau du pragmatisme pour cacher un ralliement avec armes et bagages au camp français. Car et il importe de bien le mettre en relief : le seul argument « crédible » des français se résume en une thèse : les maorais ne veulent pas réintégrer l’Etat comorien. Depuis les années 1995, L’Etat français a mis les bouchées double en termes d’infrastruct

QUESTION DE MAYOTTE : MZIMBA SE DEVOILE

Dans "LA GAZETTE DES COMORES" et "AL BALAD" de ce jour 07/10/2010, Maître Mzimba a donné son point de vue sur la question de l'île comorienne de Mayotte. Ci-dessous ma réaction aux prises de position du seul député de l'opposition et candidat à la présidentielle. Candidat (colistier de Bianrifi) aux présidentielles, Maitre Mzimba vient de donner son opinion sur la question cardinale de l’île comorienne de Mayotte. La révélation est de poids et j’en suis interloqué. Tout le monde doit noter que Mzimba, en tant qu’ancien Ministre des Affaires Etrangères, revendique sa participation au retrait de la question de l’Ile comorienne de Mayotte de l’ordre du jour des Assemblées générales de l’ONU, un fait qui pèse lourd dans l’action diplomatique. Et il dit lui-même que la « contrepartie française était la construction d’un gymnase sportif» pour rapprocher les populations de nos îles. Au delà des lapalissades sur la solution par la population elle-même, il faut souli