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Articles

Affichage des articles du novembre, 2020

Y-a-t-il des hommes de loi dans le pays ?

Le spectacle pitoyable que nous offre les avocats a de quoi achever tous ceux qui croient et qui militent pour un État de droit. Comment une équipe dirigeante sortante peut s’imposer en commission électorale pour élire la suivante  ? Comment imaginer des avocats se livrant à une arithmétique spécieux du style 2>=3 ? Comment peut-on se considérer comme élu suite à des applaudissements d’une partie des avocats ou d’un vote d’une partie des avocats, furent-ils majoritaires ? Ridicule cette histoire de deux bâtonniers ? Les deux devraient avoir honte et ne pas se pavaner dans des conférences de presse comme le pays en est friand ? On aurait aimé un éclairage d’un homme de loi comme Rasfanjani ou autre. On a besoin de comprendre ce qui arrive au pays. Pourquoi ce peu de respect des lois partout et à tous les niveaux. Faute d’une voix autorisée, des ignares comme moi montent au créneau et se lâchent. Car on dirait que le pays régresse malgré le nombre et la qualité des juristes formé

LE DG DU CHN ELMAAROUF NOUS ECRIT

Nous publions in extenso, la lettre que Monsieur Nicolas Moussa M’madi, Directeur Général du CHN EL MAAROUF nous a adressée. commentaire Nous nous réjouissons de l’intérêt accordé à notre modeste blog par le DG d’El Maarouf et nous le remercions de tout cœur. Nous saluons son esprit de dialogue et de considération de l’opinion publique. Il va de soi que nous sommes tous animés par la volonté de contribuer à parfaire le système de santé de notre pays dont le CHN est la pierre angulaire. Les titres de nos articles mettaient en relief précisément l’amélioration du système en tirant les leçons d’un drame qui a touché beaucoup de monde. C’est une constance dans nos engagements à tous les niveaux et dans tous les domaines. Notre démarche positive nous conduit à ne pas insister sur les insultes de votre Responsable de Communication ni sur les suspicions d’instrumentalisation d’un drame à des fins politiciens. Une accusation trop facile et largement utilisée pour faire obstacle à toute con

A QUOI SERT L’UNION AFRICAINE (UA)

L’Éthiopie en danger ! Ce pays f rappé hier par plusieurs famines, s’est peu à peu relevé. Deuxième pays le plus peuplé d’Afrique avec plus de cent millions de personnes, l’Éthiopie connaît un taux de croissance qui fait rêver : plus de 8 % attendus pour 2019. Une réussite qui se voit partout. Sa compagnie d’aviation s’est invitée dans la cour des grands. Pour les grands de ce monde qui vivent sur la misère de l’Afrique, cela est insupportable. Il faut vite y mettre un terme. Quoi de mieux qu’une « guerre tribale ». L’expérience acquise en la matière e st riche et édifiante . Alors un État de la fédération éthiopienne «  découvre » qu’il est ostracisé et prend les armes contre le pouvoir central. Et comme par hasard la rébellion touche une région particulièrement riche. Pour s’en convaincre une URL : http://www.rutilance.com/ethiopie-l-exploitation-de-l-or-de-terakimti-ou-le-top-depart-sur-la-richesse Bien évidemment la machine de propagande occidentale e ntonne la thèse éculé

1970-2020 : 50 ans après la mort du Général DEGAULLE

Les c é l é brations du grand homme revêtent un éclat tout particulier. Macron à Colombey-les-deux-Eglises avec la bénédiction de toute la classe politique française : de l’extrême gauche à l’extrême droite, chacun s’incline. Minute de silence à l’Assemblée nationale, etc. La France entière assume l’héritage de son général, toute l’héritage . Même ceux qui l’ont politiquement combattu s’inclinent tout bas devant la mémoire de l’illustre homme. Aucune ombre au tableau. Même l es innombrables crimes, assassinats, massacres de population commis par Degaulle et son compère Foccart n’ apparaissent pas dans le bilan !? Et beaucoup de Français savent ce qu’il en est. En témoignage cette petite illustration, https://www.youtube.com/watch?v=lXWJhmvkcLI , vidéo produite par TV5, un média qu’il serait difficile de taxer de complotisme, d’ultra gauche, etc. J e souligne cette phrase si significative : « est-ce que c’était bien ou mal ? ….c’était pour la France ... ». A lors tout est permis. T

QUE LE DÉCÈS D’ADINA SERVE LE PAYS II

Les choses se clarifient. Alwatwan numéro 4049 du lundi 09/11/2020, page 4, rapporte les propos de la fille d’Adina. « son père a été transféré d’une clinique vers El Maarouf ». El Maarouf était prévenue par l’ambulancier d’un malade nécessitant une incubation respiratoire. « A mon arrivée à l’hôpital par taxi, l’ambulance était déjà là depuis plusieurs dizaines de minutes sauf qu’il n’était toujours pas oxygéné ….Nous avons du faire la queue à la pharmacie pour acheter le matériel nécessaire à son oxygénation. Ensuite il a fallu que l’oxygène disponible soit transféré du service de pédiatrie aux urgences avec le temps que cela implique au niveau des procédures » Ceux qui veulent couvrir le scandale par des insultes en sont pour leurs frais. On comprend pourquoi le communiquant en chef d’El Maarouf bafouillait car il n’est certainement pas dépourvu de t out scrupule. Il était gêné d’assumer. Le pauvre homme a cru trouver un échappatoire en m’insultant. En vain ! Car en fait il a aggr

QUE LE DÉCÈS D’ADINA SERVE LE PAYS

Adina au Jardin de la Paix, les animations où il excellait Adina est parti. Il n’est pas exagéré d’affirmer que le pays tout entier le pleure. Adina n’est plus de notre monde mais il ne nous quittera jamais. Ses œuvres accompagneront notre génération et les suivantes. Certains ont mis en lumière ses qualités d’homme, tout particulièrement sa modestie. Les hommages posthumes mérités se multiplient et rivalisent dans le bon sens. J’ai essayé de le faire hier, jour de son enterrement, mais mon émotion ne me l’a pas permis. J’interviens parce que je suis très en colère. Je voudrais que les conditions de la disparition d’Adina soient clarifiées et provoquent si besoin u ne vive réaction populaire. Les Comoriens ne peuvent pas continuer de mourir à El Maarouf et ailleurs comme des moins que rien ! Dans le domaine de la santé, on n’a pas le droit à l’erreur ; pire l’irresponsabilité confine au crime. Il convient d’utiliser le nom d’Adina pour changer les choses. C’est lui rendre justice.