Elle est tombée en pleine nuit et elle a suscité l’indignation générale d’un côté et le triomphe de l’autre ; Mansour Kamardine, fer de lance du séparatisme maorais, pavoise. Plusieurs mois « d’affrontement » entre le refus d’accueillir les expulsés de Maore et le refus de délivrer des visas Schengen ! Pourquoi, pour quel résultat pour l’État comorien ? Les vrais problèmes sont niés. On ne parle même plus d’expulsion. Les Français ont imposé aux Comoriens un nouveau mot « réadmission ». On parle de « trafiquants d’être humains entre les îles de l’Archipel » mais on zappe le visa criminogène de Balladur. On met en avant une vision économiste de la question de Maore en ignorant le fond du problème : l’intégrité territoriale des Comores. Sommet de la capitulation : les « élus maorais » sont désormais impliqués dans le dialogue franco comorien. Une des revendications fondamentales des séparatistes maorais qui dirigent l’île sous le chapeau de la France. Et bien évidemment Mansour
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