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Articles

Affichage des articles du mai, 2010

La leçon de la Cour Constitutionnelle

Le dernier arrêt de la Cour Constitutionnelle (CC) sur le Congrès et le mandat du Président Sambi est une leçon de sagesse aux dirigeants de tous bords de ce pays. La CC a ménagé la chèvre et le chou à telle enseigne que chaque camp a cru pouvoir crier victoire. Bien évidement et c'est pitoyable, certains "professionnels du droit" en chœur avec des exégètes de circonstances s'évertuent à "prouver par le droit" que c'est leur camp qui a raison. Ils ne s'aperçoivent pas que les "confusions", les "contradictions", bref les décisions ambiguës de la CC sont en réalité des subtilités significatives qui invitent au dialogue. Q'un avocat de la place aille jusqu'à spéculer sur la "non précision" du consensus traduit un aveuglement inquiétant. Quant à prétendre que le consensus préconisé par le CC concernerait le Président et ses Vices Présidents, cela relève de la caricature chez quelqu'un qui ne craint pas le ridicul

COMMUNIQUE DU COMITE MAORE

Le journal ALWATWAN a pris l'initiative heureuse de relancer la proposition historique du Président Sambi "UN ETAT DEUX ADMINISTRATIONS" pour solutionner dans une démarche gagnant-gagnant la question de l'île comorienne de Mayotte. Face aux arguties juridiques de M Oraison qui ont fait l'objet d'une réfutation systématique par Maître El Aniou, le Comité Maore souligne que la question de l'île comorienne de Mayotte ne passera pas par une issue purement juridique. Sinon, elle aurait déjà été résolue. La loi de la France ne prime pas sur la loi internationale, en l'occurrence la Charte de l'ONU et la vingtaine de résolutions de l'ONU qui toutes, soulignent très clairement l'appartenance de Mayotte à l'Etat comorien. Il faut donc une solution politique en somme une volonté politique de la France de progresser, d'abandonner sa politique du plus fort face à un pays faible. La France doit respecter la Communauté internationale, accepter d&