Une dynamique est enclenchée par le président Azali. Cela ne se traduit pas encore nettement dans la vie quotidienne des simples citoyens mais à moins de sombrer dans le nihilisme ou de tomber dans un anti-Azali primaire, force est de reconnaître que les perspectives de développement du pays prennent progressivement formes. A quelle période a-t-on vu autant de chantiers en route, pas en parole mais dans les faits : les centrales électriques, l’hôpital de référence, les infrastructures, etc. ? Qui se rappelle d’un budget de l’Etat donnant une place conséquente à l’investissement ? Depuis des lustres, on nous chante la mendicité, tous les projets devaient être financés par des « partenaires », Azali change de partition : comptons sur nos propres forces d’abord ; la notion de fonds propres refait surface ! Bien sûr qu’il y a « à boire et à manger » comme on dit, mais tout de même. Il faut néanmoins reconnaître aussi que nous ne sommes qu’au début du processus, un processus inévitableme...
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