Le constat établi le 31 juillet 2013 souligne la nouvelle catastrophe : Bambao et Hambou, suite aux fortes pluies de ces derniers jours, sont de nouveau inondées. « Les villages de Vuvuni, Bangwa, Salimani, Mdjwaezi et Bweni sont en partie inondés. A Mdjwiezi : 2 quartiers ont été évacués. Dans le village de Bangwa, près 80% des maisons sont touchées par la montée des eaux et certains habitants sont en cours d’évacuation. Sur la route nationale menant vers le sud de l'ile de Ngazidja, le petit pont, proche du carrefour est submergé et la circulation est perturbée. A Salimani, le quartier Est (coté cimetière) est submergé. A Vuvuni, les quartiers sud sont inondés. Etc. » (Extrait de comoresdroit.centerblog.net).
Lors des premières graves inondations, il y a trois ans, le pays entier s’était mobilisé, une solidarité nationale qui avait ému, la communauté internationale également avait apporté une contribution conséquente. Des sommes importantes avaient été recueillies pour à la fois porter secours aux sinistrés mais aussi pour mettre en place des systèmes de sécurisation (digues, détournements des cours d’eau, etc.) Des spécialistes devaient intervenir pour concevoir les solutions les plus adaptées au contexte. Mais rien, rien de rien ! Des gesticulations honteuses des autorités, des paroles démagogiques. L’irresponsabilité au sommet de l’Etat engendre des dommages de plus en plus graves. Aujourd’hui, ces catastrophes sont devenus presque banales.
Des appels venant de tous côtés pour unir les « forces vives » pour sauver le pays se font entendre. Reste à savoir s’ils seront entendus et ce qui en résulterait ! En tout état de cause, il serait temps que les forces de progrès du pays s’éveillent, sortent de leur passivité qui leur fait subir ces pouvoirs exécrables qui tuent notre peuple à petit feu.
Idriss (02/08/2013)
Lors des premières graves inondations, il y a trois ans, le pays entier s’était mobilisé, une solidarité nationale qui avait ému, la communauté internationale également avait apporté une contribution conséquente. Des sommes importantes avaient été recueillies pour à la fois porter secours aux sinistrés mais aussi pour mettre en place des systèmes de sécurisation (digues, détournements des cours d’eau, etc.) Des spécialistes devaient intervenir pour concevoir les solutions les plus adaptées au contexte. Mais rien, rien de rien ! Des gesticulations honteuses des autorités, des paroles démagogiques. L’irresponsabilité au sommet de l’Etat engendre des dommages de plus en plus graves. Aujourd’hui, ces catastrophes sont devenus presque banales.
Des appels venant de tous côtés pour unir les « forces vives » pour sauver le pays se font entendre. Reste à savoir s’ils seront entendus et ce qui en résulterait ! En tout état de cause, il serait temps que les forces de progrès du pays s’éveillent, sortent de leur passivité qui leur fait subir ces pouvoirs exécrables qui tuent notre peuple à petit feu.
Idriss (02/08/2013)
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