Sans précédent, voire même historique ! La résolution du Conseil de Sécurité de l’ONU interdisant les colonies israéliennes en terre palestinienne, sonne comme un coup de semonce et servira encore de révélateur de l’iniquité des relations internationales. D’ailleurs les grosses machines médiatiques occidentales cherchent déjà à désamorcer la bombe en banalisant la résolution avec des commentaires machiavéliques du style : il s’agissait seulement d’une peau de banane d’Obama contre Trump ! La question palestinienne ne compte pas pour eux !
Les interprétations des textes de l’ONU considèrent les résolutions de l’AG comme une simple recommandation tandis que celles du Conseil de Sécurité s’imposent et doivent être respectées sous peine de représailles. Les Comores en savent quelque chose, la vingtaine et quelques résolutions condamnant la politique française aux Comores étant restées jusqu’ici lettres mortes. Il en est de même des résolutions sur la création d’un Etat palestinien au côté de l’Etat Israélien. Aujourd’hui il s’agit d’une résolution du Conseil de Sécurité. Quelle en sera la suite d’autant qu’Israel n’a pas tardé à réagir avec la violence qu’on lui connait : dénonciation arrogante de la résolution et interruption de ses relations diplomatiques avec le Sénégal et la Nouvelle Zélande qui furent, entre autres, initiateurs de la résolution.
Les petits pays sans parapluie d’un grand du Conseil de Sécurité, ceux qui, comme les Comores, voient leurs droits légitimes bafoués par des plus forts qu’eux, observent la situation avec scepticisme. Car si le droit est censé défendre les faibles face aux forts, dans les relations internationales, c’est la loi du plus fort qui s’applique. A s’interroger sur la communauté humaine que les Occidentaux veulent bâtir ? Et les choses risquent de prendre un cours dramatique avec un Trump à la tête des USA.
Question aux grands de ce monde : quelle peut être la réaction des faibles face aux vexations subies des plus forts ? Pensez-vous qu’ils n’ont qu’à se soumettre, qu’à courber éternellement l’échine ? Peut-on édifier un monde de paix et de prospérité sur l’oppression et l’exploitation des faibles ?
Cette résolution n’en reste pas moins un signe. Quelles que soient les circonstances, il faut persévérer dans la résistance aux puissances malfaisantes, ces vrais Etats voyous. Car au final L’Histoire ne leur donnera pas raison. Des nombreuses expériences passées le prouvent clairement
Idriss (24/12/2016)
Les interprétations des textes de l’ONU considèrent les résolutions de l’AG comme une simple recommandation tandis que celles du Conseil de Sécurité s’imposent et doivent être respectées sous peine de représailles. Les Comores en savent quelque chose, la vingtaine et quelques résolutions condamnant la politique française aux Comores étant restées jusqu’ici lettres mortes. Il en est de même des résolutions sur la création d’un Etat palestinien au côté de l’Etat Israélien. Aujourd’hui il s’agit d’une résolution du Conseil de Sécurité. Quelle en sera la suite d’autant qu’Israel n’a pas tardé à réagir avec la violence qu’on lui connait : dénonciation arrogante de la résolution et interruption de ses relations diplomatiques avec le Sénégal et la Nouvelle Zélande qui furent, entre autres, initiateurs de la résolution.
Les petits pays sans parapluie d’un grand du Conseil de Sécurité, ceux qui, comme les Comores, voient leurs droits légitimes bafoués par des plus forts qu’eux, observent la situation avec scepticisme. Car si le droit est censé défendre les faibles face aux forts, dans les relations internationales, c’est la loi du plus fort qui s’applique. A s’interroger sur la communauté humaine que les Occidentaux veulent bâtir ? Et les choses risquent de prendre un cours dramatique avec un Trump à la tête des USA.
Question aux grands de ce monde : quelle peut être la réaction des faibles face aux vexations subies des plus forts ? Pensez-vous qu’ils n’ont qu’à se soumettre, qu’à courber éternellement l’échine ? Peut-on édifier un monde de paix et de prospérité sur l’oppression et l’exploitation des faibles ?
Cette résolution n’en reste pas moins un signe. Quelles que soient les circonstances, il faut persévérer dans la résistance aux puissances malfaisantes, ces vrais Etats voyous. Car au final L’Histoire ne leur donnera pas raison. Des nombreuses expériences passées le prouvent clairement
Idriss (24/12/2016)
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