Ça en a tout l'air ! Il reste que la question traduit plus une inquiétude qu'une accusation !
La tension croissante générée par la perspective du référendum a ému l'Union Africaine qui a trouvé utile de souligner son attachement à la Constitution de 2001 et d'appeler à renoncer au référendum du 30 juillet.
Un ancien, Said Hassane Said Hachim, se posant en sage, a appelé à la retenue, à l'apaisement et au dialogue. Il a à juste titre invité les grands élus à se rencontrer dans une atmosphère de paix et de réconciliation.
Rien n'y fait. La détermination du pouvoir s'affirme malgré des indices tangibles qui font craindre le pire.
Des jeunes excédés par les mauvais traitements des dirigeants de l'opposition et par la répression abattue sur des manifestants non violents, se laissent aller à des débordements séparatistes, s'armant de machettes et se livrant à des provocations.
Face à ces dérives dangereuses, le sommet de l'Etat, en la personne du Directeur de Cabinet du Président et Ministre de la Défense, loin de chercher à calmer des esprits échauffés choisit de jeter de l'huile sur le feu avec des propos séparatistes irresponsables (voir Masiwa du 10 juillet 2018, rapportant le point de presse du Directeur de Cabinet).
Face à l'hostilité quasi générale contre ses pratiques qualifiées non sans raison de dictatoriales, le pouvoir semble vouloir poursuivre son projet coûte que coûte, sans craindre d'ouvrir une "boîte de pandore" dont personne ne peut apprécier les conséquences pour le devenir immédiat du pays.
En tout état de cause, une réédition de la crise séparatiste d'août 1997 ou pire encore, des affrontements fratricides inter îles porteraient un rude coup au pays dont il sera extrêmement ardu de se relever.
L'on ne devrait pas oublier qu'hier, seule une puissance avait intérêt à l'implosion de l'Etat comorien. Aujourd'hui, avec l'odeur de pétrole, les rapaces internationaux spécialistes des guerres civiles, voie de pillage des ressources naturelles des pays africains cherchent à s'infiltrer et ils saisiront toute opportunité pour déstabiliser les fragiles minuscules îles Comores.
Le Président Azali se grandirait en faisant marche arrière. Reconnaître son erreur est un signe de grandeur d'esprit et d'âme.
Idriss (10/07/2018)
La tension croissante générée par la perspective du référendum a ému l'Union Africaine qui a trouvé utile de souligner son attachement à la Constitution de 2001 et d'appeler à renoncer au référendum du 30 juillet.
Un ancien, Said Hassane Said Hachim, se posant en sage, a appelé à la retenue, à l'apaisement et au dialogue. Il a à juste titre invité les grands élus à se rencontrer dans une atmosphère de paix et de réconciliation.
Rien n'y fait. La détermination du pouvoir s'affirme malgré des indices tangibles qui font craindre le pire.
Des jeunes excédés par les mauvais traitements des dirigeants de l'opposition et par la répression abattue sur des manifestants non violents, se laissent aller à des débordements séparatistes, s'armant de machettes et se livrant à des provocations.
Face à ces dérives dangereuses, le sommet de l'Etat, en la personne du Directeur de Cabinet du Président et Ministre de la Défense, loin de chercher à calmer des esprits échauffés choisit de jeter de l'huile sur le feu avec des propos séparatistes irresponsables (voir Masiwa du 10 juillet 2018, rapportant le point de presse du Directeur de Cabinet).
Face à l'hostilité quasi générale contre ses pratiques qualifiées non sans raison de dictatoriales, le pouvoir semble vouloir poursuivre son projet coûte que coûte, sans craindre d'ouvrir une "boîte de pandore" dont personne ne peut apprécier les conséquences pour le devenir immédiat du pays.
En tout état de cause, une réédition de la crise séparatiste d'août 1997 ou pire encore, des affrontements fratricides inter îles porteraient un rude coup au pays dont il sera extrêmement ardu de se relever.
L'on ne devrait pas oublier qu'hier, seule une puissance avait intérêt à l'implosion de l'Etat comorien. Aujourd'hui, avec l'odeur de pétrole, les rapaces internationaux spécialistes des guerres civiles, voie de pillage des ressources naturelles des pays africains cherchent à s'infiltrer et ils saisiront toute opportunité pour déstabiliser les fragiles minuscules îles Comores.
Le Président Azali se grandirait en faisant marche arrière. Reconnaître son erreur est un signe de grandeur d'esprit et d'âme.
Idriss (10/07/2018)
Commentaires
VOUS ETES UN GRAND CLAIRVOYANT ET VOUS VENEZ DE LE PRéDIRE SUR LE DANGER IMMINENT ET CATASTROPHIQUE ENCOURU SUR L' UNION DES COMORES DANS UN AVENIR PROCHE , MAIS QUELQUES NOUS ECHAPPE NOTRE CHER IDRISS , POURQUOI VOTRE ACHARNEMENT À VOULOIR ENCORE NOUS TIRER , NOUS LES MAORÉS DANS VOTRE DANGERS ET VOTRE ETAT MISEREUX ??? . VOUS FAITES PARTIS DE CEUX QUI ONT UNE ÉTROITESSE DE RAISONNEMENT QUI SE DISENT QUE " PUISQUE NOUS SOMMES DES FRESES ET SOEURS NOTRE DESTIN DOIT ETRE COMMUN À SAVOIR : NOUS DEVONS TOUS COULER ENSEMBLES , NOUS DEVONS TOUS MOURIR ENSEMBLE , NOUS DEVONS TOUS SUBIR LA DICTATURE PROCHAINE DE AZALI ALIAS MUGABET , NOUS DEVONS TOUS GOUTER LA TERREURE ET LA TYRANNIE DU RAYISE , NOUS DEVONS TOUS S'ENTRE-TUER ENTRE NOUS . ET BEN LES MAORÉS ONT REFUSÉ CELA DEPUIS 1974 , ET NOUS SOMMES LÀ AU MOINS POUR VOUS PORTER ASSISTANCE ET VOUS PRODIGUEZ DES SOINS , VOUS SOIGNEZ PENDANT QUE VOUS VOUS ENTRE-TUEZ LÀ BAS ,ET SI MALHEUREUSEMENT IL N' Y A PLUS ESPOIR DE VOUS RAMENEZ À LA VIE , LES MAORÉS SERONT LÀ POUR ENTEREZ DIGNEMENT SELON LES REGLES DE NOTRE RELIGION .
NOUS SOMMES EN ALERTE MAXIMALE ,VU QUE VOTRE REFERENDUM DE LA DISCORDE APPROCHE ,POUR CONSTRUIRE DES POSTE MEDICALE ET CHIRURGICALE AVANCÉS SUR LES COTES MORÉSES , VU QUE L' AFFLUX DES KAWASSA AMBULANCES TRANSPORTANT DES BLESSÉS PAR BALE VA S' INTENSIFIER ,
AVEC TOUT L' ADMIRATION QUE LES MAORÉS PORTENT SUR VOUS Mr IDRISS , NOUS NE SOUHAITERIONS PAS QUE VOUS SOYEZ PARMI LES BLESSÉS QUI SERONT JETÉS SUR LES PLAGES MAORÉSES COMME DE LA BÉTAIL COMME CECI SE FAIT HABITUELLEMENT PAR LES PILOTES DE KWASSA .