Ces derniers jours l’actualité est fortement marquée par l’histoire rocambolesque de l’ hélicoptère qui se serait accidentellement écrasé à Ndzuani le 19 mars dernier. Bien sûr il y a matière à supputations mais il y a aussi ce que, nous, citoyens comoriens sommes en droit d’attendre de ceux qui ont la charge de diriger le pays.
L’hélicoptère appartient à Comores Aviation, société installée dans le pays. Cet hélicoptère serait celui là même qui aurait violé les sanctions prononcées par l’Union Africaine en transportant une proche de Mohamed Bacar de Maore vers Ndzuani. Comores Aviation est une société privée qui mène ses activités sans état d’âme, comme par exemple transporter dans les conditions que lui impose son client français les expulsés de Maore, comme louer son hélicoptère à son client français qui nargue la nation comorienne de toutes les façons possibles, comme louer son hélicoptère à un privé se rendant d’une île à l’autre sans se soucier de « politique ». Mais l’Etat comorien n’a-t-il aucun droit de regard sur l’activité commerciale dans le pays ? Comment comprendre et tolérer la passivité de ceux qui sont censés incarnés l’Etat ?
Laisser-aller, irresponsabilité, veulerie, mesquinerie, …
Ces derniers temps, le patriotisme comorien est entrain de retrouver des couleurs. Même l’esprit mercenaire qui régnait dans l’armée bat de l’aile. De plus en plus de gens osent s’interroger à voix haute sur les pratiques anti-comoriennes de la France.
Est-ce rêver les yeux ouverts que d’espérer un sursaut comorien qui verra les dirigeants du pays se respecter, se faire respecter et du même coup faire respecter le pays. Petit pays insulaire aux faibles moyens, les quatre Iles Comores n’en constituent pas moins un pays jaloux de sa dignité.
L’hélicoptère appartient à Comores Aviation, société installée dans le pays. Cet hélicoptère serait celui là même qui aurait violé les sanctions prononcées par l’Union Africaine en transportant une proche de Mohamed Bacar de Maore vers Ndzuani. Comores Aviation est une société privée qui mène ses activités sans état d’âme, comme par exemple transporter dans les conditions que lui impose son client français les expulsés de Maore, comme louer son hélicoptère à son client français qui nargue la nation comorienne de toutes les façons possibles, comme louer son hélicoptère à un privé se rendant d’une île à l’autre sans se soucier de « politique ». Mais l’Etat comorien n’a-t-il aucun droit de regard sur l’activité commerciale dans le pays ? Comment comprendre et tolérer la passivité de ceux qui sont censés incarnés l’Etat ?
Laisser-aller, irresponsabilité, veulerie, mesquinerie, …
Ces derniers temps, le patriotisme comorien est entrain de retrouver des couleurs. Même l’esprit mercenaire qui régnait dans l’armée bat de l’aile. De plus en plus de gens osent s’interroger à voix haute sur les pratiques anti-comoriennes de la France.
Est-ce rêver les yeux ouverts que d’espérer un sursaut comorien qui verra les dirigeants du pays se respecter, se faire respecter et du même coup faire respecter le pays. Petit pays insulaire aux faibles moyens, les quatre Iles Comores n’en constituent pas moins un pays jaloux de sa dignité.
Idriss 21/03/08
Commentaires
PLEASE,
CAN YOU ENTER IN MY BLOG IN ORDER TO TAKE THE FLAG OF COMORES AND IT IS WRITTEN IN MY MAP OF VISITORS?
THANK YOU VERY MUCH.
lefobserver.blogspot.com