Israël dans la bande de Gaza et en Palestine, impose sa loi avec ses bombardements aériens auxquels les Palestiniens ne peuvent opposer que leur courage et riposter symboliquement avec leurs roquettes.
Aux Comores, la France impose sa loi en maintenant arbitrairement l’île comorienne de Mayotte sous sa coupe et s’apprête à en faire un département français. Parce qu’ils sont forts, ils croient pouvoir imposer leurs sophismes : le droit d’Israël à la sécurité en bafouant les droits du peuple palestinien, le droit d’un « peuple » maorais en bafouant le droit du peuple comorien.
L’Histoire n’apprend rien aux « plus fort ». Quelles leçons de l’échec honteux des USA au VietNam ? Où mène le terrorisme d’Etat ? Quelle est l’alternative des « plus faibles » face à la bestialité des « plus forts » ? Quand la coupe est pleine, même les plus pacifiques s’insurgent.
L’héroïsme des palestiniens face à la barbarie des dirigeants israéliens devrait inspirer les Comoriens. Il est certes peu probable de parvenir à empêcher la départementalisation de Mayotte comme le dit le Président Sambi, mais il ne faut pas renoncer, il ne faut pas capituler. A la force brutale des français, il faut opposer la force du droit et alors, malgré les vicissitudes, la victoire est au bout. C’est la résistance acharnée des palestiniens contre Israël soutenu par les USA et l’occident impérialiste, qui a contraint le monde a finalement reconnaître le droit des Palestiniens à disposer d’un Etat et cela se fera.
Il faut que les dirigeants comoriens osent résister à la France pour que « Mayotte française » ne rentre pas dans les faits comme cela est entrain de se faire dans la Commission de l’Océan Indien et ailleurs. Si les réactions comoriennes face à ce qu’il faut bien appeler une nouvelle agression française sont perçues à l’étranger comme purement formelle ou à simple usage interne, cela signifiera une démission comorienne. Il faut des positions claires et fermes qui soient des vrais signaux à la France et à la Communauté Internationale. Il faut commencer par arrêter les négociations dans le cadre du GTHN et refuser l’arrivée de Sarkosy aux Comores.
Idriss 10/01/09
Aux Comores, la France impose sa loi en maintenant arbitrairement l’île comorienne de Mayotte sous sa coupe et s’apprête à en faire un département français. Parce qu’ils sont forts, ils croient pouvoir imposer leurs sophismes : le droit d’Israël à la sécurité en bafouant les droits du peuple palestinien, le droit d’un « peuple » maorais en bafouant le droit du peuple comorien.
L’Histoire n’apprend rien aux « plus fort ». Quelles leçons de l’échec honteux des USA au VietNam ? Où mène le terrorisme d’Etat ? Quelle est l’alternative des « plus faibles » face à la bestialité des « plus forts » ? Quand la coupe est pleine, même les plus pacifiques s’insurgent.
L’héroïsme des palestiniens face à la barbarie des dirigeants israéliens devrait inspirer les Comoriens. Il est certes peu probable de parvenir à empêcher la départementalisation de Mayotte comme le dit le Président Sambi, mais il ne faut pas renoncer, il ne faut pas capituler. A la force brutale des français, il faut opposer la force du droit et alors, malgré les vicissitudes, la victoire est au bout. C’est la résistance acharnée des palestiniens contre Israël soutenu par les USA et l’occident impérialiste, qui a contraint le monde a finalement reconnaître le droit des Palestiniens à disposer d’un Etat et cela se fera.
Il faut que les dirigeants comoriens osent résister à la France pour que « Mayotte française » ne rentre pas dans les faits comme cela est entrain de se faire dans la Commission de l’Océan Indien et ailleurs. Si les réactions comoriennes face à ce qu’il faut bien appeler une nouvelle agression française sont perçues à l’étranger comme purement formelle ou à simple usage interne, cela signifiera une démission comorienne. Il faut des positions claires et fermes qui soient des vrais signaux à la France et à la Communauté Internationale. Il faut commencer par arrêter les négociations dans le cadre du GTHN et refuser l’arrivée de Sarkosy aux Comores.
Idriss 10/01/09
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