La question de l’impression du matériel électoral doit servir de révélateur et déciller les yeux sur la place et le rôle joué par les Organisations Internationales spécialistes de l’aide eu développement, en premier lieu le FMI, la Banque Mondiale et le PNUD.
Interrogeons d’abord les faits.
Le PNUD affirme avoir lancé un appel d’offre international. Comment se fait-il que cet appel n’ait pas été publié par un organe de presse comorien ? Contacté, Al Watwan dit ne pas l’avoir reçu. De quel sorte d’appel international s’agissait-il ? Comment un opérateur installé aux Comores pouvait-il savoir qu’un appel d’offre international était lancé et comment pouvait-il y accéder ? M Opia doit s’expliquer publiquement à moins qu’il opte pour une attitude arrogante envers le pays.
Autre aspect des choses : pourquoi ne pas s’être limité à un appel d’offre national ? Les opérateurs du domaine installés aux Comores ont prouvé par les faits leurs compétences en la matière lors des dernières élections ? Si les marchés significatifs susceptibles de permettre aux acteurs économiques travaillant dans le pays de respirer sont destinés exclusivement à l’étranger comment le pays peut-il sortir de la pauvreté ? La lutte pour les OMD se résume-t-elle à des messes et à des innombrables rapports d’experts internationaux ?
Le PNUD reçoit les contributions aux élections, les comptes doivent être rendus publiques et montrer la part que le PNUD s’approprie comme frais de fonctionnement et la part destiné à l’expertise internationale (qui là encore exclu les Comoriens)
Mais me direz-vous les Comores feraient-ils partie de l’international ?
Puis il y a ceux qui vont sursauter : si après plus de soixante année d’aide multiforme par les Organisations spécialistes de l’aide au développement, aucun pays africain ne soit sorti de la pauvreté, la responsabilité doit être endossé par les africains. Regarder ces institutions, elles prospèrent et inventent des concepts nouveaux à la demande. Leur champ d’action s’étend même à la gestion de l’aide qu’elle octroie, à la supervision des structures gouvernementales des pays-en-développement-qui-s’appauvrissent !?
S’agissant des Comores, comment un « pays dépendant en tout » (Babou des Iles Al Watwan 1646) pourrait-il avoir droit à la parole.
Idriss (28/10/2010)
Interrogeons d’abord les faits.
Le PNUD affirme avoir lancé un appel d’offre international. Comment se fait-il que cet appel n’ait pas été publié par un organe de presse comorien ? Contacté, Al Watwan dit ne pas l’avoir reçu. De quel sorte d’appel international s’agissait-il ? Comment un opérateur installé aux Comores pouvait-il savoir qu’un appel d’offre international était lancé et comment pouvait-il y accéder ? M Opia doit s’expliquer publiquement à moins qu’il opte pour une attitude arrogante envers le pays.
Autre aspect des choses : pourquoi ne pas s’être limité à un appel d’offre national ? Les opérateurs du domaine installés aux Comores ont prouvé par les faits leurs compétences en la matière lors des dernières élections ? Si les marchés significatifs susceptibles de permettre aux acteurs économiques travaillant dans le pays de respirer sont destinés exclusivement à l’étranger comment le pays peut-il sortir de la pauvreté ? La lutte pour les OMD se résume-t-elle à des messes et à des innombrables rapports d’experts internationaux ?
Le PNUD reçoit les contributions aux élections, les comptes doivent être rendus publiques et montrer la part que le PNUD s’approprie comme frais de fonctionnement et la part destiné à l’expertise internationale (qui là encore exclu les Comoriens)
Mais me direz-vous les Comores feraient-ils partie de l’international ?
Puis il y a ceux qui vont sursauter : si après plus de soixante année d’aide multiforme par les Organisations spécialistes de l’aide au développement, aucun pays africain ne soit sorti de la pauvreté, la responsabilité doit être endossé par les africains. Regarder ces institutions, elles prospèrent et inventent des concepts nouveaux à la demande. Leur champ d’action s’étend même à la gestion de l’aide qu’elle octroie, à la supervision des structures gouvernementales des pays-en-développement-qui-s’appauvrissent !?
S’agissant des Comores, comment un « pays dépendant en tout » (Babou des Iles Al Watwan 1646) pourrait-il avoir droit à la parole.
Idriss (28/10/2010)
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