Certains médecins ont dépassé les limites de l'acceptable dans le marchandisage du soin : quasi sabotage de l'image d'El Maarouf (plateau technique, état des locaux, qualité des soins, etc.) au bénéfice de leurs structures commerciales, déroutage des malades du public vers le privé, facturation abusive, prix exorbitants, etc. Des médecins qui ont de l'argent à la place du cœur ! Et que dire du mépris insolent affiché face aux malades et à leurs familles. Ces pratiques qui déshonorent la noble profession de médecin, qui illustrent l'incurie et l'irresponsabilité de ceux qui gouvernent le pays et le laisser faire de structures comme le Conseil de l'Ordre des Médecins, sont connues de tous. Mais personne ne dit rien, ne fait rien. On se trouve parfois face à des fautes professionnelles graves ayant entraîné mort humaine sans réaction. Eh oui il y a tellement de problèmes dans ce pays, le secteur de santé est si atteint par des nombreuses et graves maladies et il n'est pas le seul; que voulez-vous; réagir pour faire quoi, mais on s'en fout; de toute façon quelle que soit la faute, il se trouvera toujours une haute autorité pour intervenir, étouffer l'affaire, etc, etc. Alors on laisse faire, on perd espoir et le cycle infernal peut se dérouler au profit d'hommes pour qui la seule foi qui compte, la seule loi qui prime, c'est l'argent.
Aujourd'hui, je suis en rage parce que Rafik est mort le 03 octobre dernier et je me demande (je ne peux hélas pas acquérir de preuves) s'il n'y a pas eu légèreté de la part du médecin qui le soignait. Ce médecin qui a usé de sophismes insensés pour ne pas se rendre au chevet de Rafik sous le prétexte fallacieux que ce dernier ne se trouvait pas dans les locaux insalubres de son service mais à la clinique d'El Maarouf. Ce médecin imbus de lui-même qui s'est permis de l'arrogance envers ma tante.
Je crie pour qu'éclate un scandale. Je dénonce ceux qui ont en charge la santé. Je dénonce les pseudo dirigeants de ce pays.
Idriss 06/10/07
Aujourd'hui, je suis en rage parce que Rafik est mort le 03 octobre dernier et je me demande (je ne peux hélas pas acquérir de preuves) s'il n'y a pas eu légèreté de la part du médecin qui le soignait. Ce médecin qui a usé de sophismes insensés pour ne pas se rendre au chevet de Rafik sous le prétexte fallacieux que ce dernier ne se trouvait pas dans les locaux insalubres de son service mais à la clinique d'El Maarouf. Ce médecin imbus de lui-même qui s'est permis de l'arrogance envers ma tante.
Je crie pour qu'éclate un scandale. Je dénonce ceux qui ont en charge la santé. Je dénonce les pseudo dirigeants de ce pays.
Idriss 06/10/07
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